Les us et coutumes de la communauté musulmane attisent jusqu’à lors la curiosité de toutes les peuples du monde. Et c’est tout à fait compréhensible, surtout lorsque l’on vient de découvrir ces quelques caractéristiques.
La succession au trône : de demi-frère à demi-frère
C’est ce que l’on appelle communément un système adelphique, à l’opposé de ceux que l’on trouve en Europe. La chose est très concevable dans la mesure où le roi possède de nombreuses épouses. Le demi-frère du roi en exercice peut donc ne pas être de sa génération, ce qui en fait un digne héritier du trône. Ce n’est que dans l’hypothèse que le roi n’a pas de demi-frère éligible que l’on se tourne vers ses neveux. Ce n’est qu’au début des années 1990 que les enfants et petits-enfants ont été considérés.
Mendicité ne rime pas avec pauvreté
Pas toujours, du moins. Cela a été prouvé en 2014 lorsque la richesse d’une mendiante de Jeddah, ayant atteint la centaine, était estimée à presque 800.000 EUR. Cette dernière possédait en réalité quatre bâtiments, des bijoux et des pièces en or. En clair, la ville de Jeddah (propice au business) pouvait très vite enrichir les mendiants « futés ».
La sur protection des femmes
Cela se manifeste surtout par le port de l’abaya, même pour les touristes. Aussi, les femmes n’ont pas le droit de conduire et si elle s’affiche avec un homme en public, il doit être son conjoint. Ces dernières doivent respecter la volonté de leur époux et tout faire pour ne pas insuffler des pensées impures à autrui.
Malgré les interdits, l’Arabie Saoudite demeure une destination touristique de choix. La vie n’y est pas faite que de restrictions. La preuve : la Mecque est le lieu de pèlerinage de toute la communauté islamique.