Le pays doit principalement sa renommée au pétrole noir qui y est conservé en abondance ainsi qu’à l’Islam qui commence à briller depuis la Mecque. Mais encore, d’autres paramètres en font une cité des plus enviées à notre époque.
Une pyramide des âges gonflée à la base
Eh, oui ! Si vous ne le savez pas encore, les trois quarts de la population saoudienne sont composés de jeunes qui ont moins de 30 ans (soit 22 millions d’individus). Intéressant si l’on compte seulement un tiers de ces derniers qui est au chômage. Bien sûr, la majeure partie n’est pas encore assez compétente pour occuper des postes qualifiés. Ainsi, le pays peut y recourir pour en faire des techniciens.
Une politique ayant subi plusieurs réformes
Ceci a eu lieu, lorsque le roi Abdallah a accédé au trône en 2005. Ce n’était pas chose facile dans un Etat très conservateur et soucieux des mœurs de la religion musulmane. Effectivement, il a souhaité ouvrir la nation aux bienfaits de la mondialisation, ce qui n’était pas vu d’un très bon œil par l’ensemble de la société. Quoi qu’il en soit, il a mis un accent sur l’équité en matière d’emploi (l’entrée de 30 femmes au Majilis) et sur l’adaptation de l’éducation aux NTIC.
Le terrorisme toujours présent
Comme bon nombre de pays du Moyen-Orient, dont la majorité de la popularité est musulmane, l’Arabie Saoudite reste un lieu de tensions menaçant. Avec les attentats (de Daech, du fils du prince Nayef, etc.) qui s’y perpétuent, le gouvernement est amené à prendre des mesures de plus en plus drastiques.
Un royaume partagé par des dynasties
Le régime est influencé par le clan qui est aux commandes. Le roi actuel, Salman, a, par exemple, veillé à ce que les membres de sa famille occupent des fonctions importantes : Mohamed bin Nayef comme prince héritier, Mohamed bin Salman comme vice-Prince héritier, etc.