Le pétrole est la première source de revenus du pays. Ce dernier accapare, à lui tout seul, 22,1 % des de pétrole. L’Arabie Saoudite se situe donc à la seconde place à l’échelle mondiale et arrive au 6ème rang pour le gaz naturel. Mais concrètement, qu’en est-il ? Y a-t-il des mesures à prendre afin de se lancer vers une aventure plus palpitante, plus rentable ? Découvrons-en davantage !
La place du pétrole dans l’économie
Premier producteur de pétrole en 2012, c’est également le premier exportateur classé par l’OPEP, la même année. Le secteur des hydrocarbures représente près de 50 % du PIB total du pays. En réalité, représente 85 % des recettes d’exportation et alimente 91 % du budget de l’Etat.
La volonté de diversification
Conscient de ce déséquilibre, le gouvernement saoudien a réduit la dépendance en hydrocarbures en avec comme objectif, en 2020, de plafonner la contribution de ce secteur à environ 20 %. Un investissement de 100 milliards USD pour le développement des énergies renouvelables et du nucléaire témoigne de ce souhait de diversification. D’autant que le pétrole est une ressource tarissable, le gouvernement se doit de viser le long terme.
Les investissements
Les investissements fleurissent en Arabie saoudite. D’ailleurs, le pays se positionne comme 22ème du classement « Doing business » délivré par la Banque Mondiale, ce qui favorise l’affluence des investisseurs. Ses investissements directs étrangers restent les plus importants parmi les pays du Moyen Orient, mais ils sont essentiellement axés sur l’énergie. Pour mener à bien ses actions, les contraintes au niveau du travail doivent être allégées, de même que les formalités dans le secteur privé.